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Le reveil du début de nuit fut brutal. Des coups à la porte, surement encore des ennuis, de simples humains ne frapperaient pas à la porte d’une bâtisse delabrée à une heure aussi tardive pour eux.
En ouvrant la porte, Fidelma nous découvre 8 croisés, 7 humains et 1 Lasombra de huitième génération selon mon intuition. Je me retourne rapidement vers Sheïtan qui a l’air de garder son calme. C’est déjà une bonne chose. Et Bashir, comme à son habitude, a disparu.
C’est bien sûr le caïnite qui prend la parole en nous annoncant notre convocation auprès de frère Palurio.
Je prend le premier la décision de les suivre, espérant que le reste du groupe suivra cette décision. En effet, affronter autant de personnes d’un coup me paraît totalement inutile. Peu de temps après ma sortie, mes trois compagnons apparent me suive sans faire d’histoire et je me place de façon a ce qu’il soit protéger par mon aura au cas où.
Les croisés humains commencent à nous escorter, le lasombra restant en arrière dans un premier temps avant d’entrer dans le refuge. Il en ressort presqu’immédiatement avec Bashir bien visible cette fois. J’aurais aimé pouvoir lui dire que se cacher d’un lasombra, d’un maitre des ombres, étant inutile, mais peut être que cet épisode lui fera comprendre que son camouflage n’est pas tout puissant et n’est pas une solution à tout.
Cette nouvelle troupe se dirige donc vers le quartier chrétien, vers les momunents les plus religieux et sains de ce quartier. Notre malaise commence à se faire sentir, même si je me doute que n’irons pas bien loin à l’intérieur de ces bâtiments, tout Lasombra qu’il est, le capitaine de notre escorte est surement lui aussi contraint par le caractère sacré de ces lieux.
Nous bifirquons d’un coup vers une petite batisse à l’écart de la cathédrale.
Les croisés humains restent dehors à la demande de Frére Pacifico, comme nous apprendrons plus tard. Nous sommes immédiatement présentés au frère Palurio, clairement un Lasombra aussi, que j’estime entre la cinquième et la troisième génération. Méfiance donc à tout acte hostile.
Frère Palurio prend immédiatement la parole en nous invectivant avec toute la colère dont il semble être capable. Sigbne de sa colère, des ombres commencent à bouger sur les murs, il me semble préparer une eventuelle attaque si nous ne répondons pas dans son sens à la discussion qui va suvre. Je tente donc de focaliser mes sens sur le côté matériel des choses qui m’entourent, tentant de faire abstraction de ces ombres. Par contre, je prends soin de n’inclure que moi dans ma protection, un caïnite du niveau de Palurio pourrait la faire tomber trop facilement.
Il a l’air furieux que nous ayons pris possession de cette bague, non pas qu’il souhaitait l’avoir, mais cette bague n’aurait jamais du faire surface selon lui. Nos maigres tentatives d’explication tournent court puisqu’il ne veut pas les écouter. Toutefois, nous parvenons à apprendre que cette bague aurait été forge il y très longtemps et qu’en certain Gersakhum sera attiré par cette bague. Fidlema tique à l’annonce de ce nom. Le frère Palurio quand à lui, a l’air de craindre ce Gersakhum, surtout s’il entre en possession de la bague.
Dès que nous abordons le sujet du retrait de la bague, le frère Palurio se braque en nous disant que le seul moyen est de mettre Blanche en état de torpeur à la place du campire précédent. Cela nous semble tous hors de question, et la discussion s’anime en tentant de chercher une autre solution.
C’est encore Blanche qui coupe court à la discussion en brandissant à nouveau la croix ssortie de sa toge et en irradiant d’une aura divine. Pacifico et Bashir se recroqueville instantanément et nous marquons tout le coup sous cette explosion.
Le premier à reprendre ces esprits est bien entendu Palurio qui matérialise les bombres qui dansaient autour de la pièce pour les projeter vers Blanche. Sheitan lui se précipite vers Palurio pour tenter au moins de le distraire. Il doti jubiler de pouvoir s’attaquer à ce qui pourrait ressembler à un maître des croisés.
Comme d’habitude, la vitesse de ce combat m’effraie presque et je ne peux qu’entrevoir ce qui se déroule.
D’une simple analyse, il semble que même la puissance de Sheitan ne suffise pas à blesser gravement Palurio, et que l’aura divine de Blanche lui offre une sorte de protection.
Une nouvelle explosion d’aura venant de Blanche met fin à ce combat en mettant en fuite les deux lasombras. Nous ne pouvons les poursuivre puisque c’est le moment choisi par les croisés à l’extérieur pour intervenir suite au bruit du précédent combat.
Contre des humains, le combat est encore plus rapide, surtout avec Sheitan énérvé de ne pas avoir pu blesser correctement le frère Palurio et Blanche, Fidelma et Bashir qui décident de se nourir.
Seul fait intéressant à mes yeux, malgré un palcement de mon aura entre les croisés et notre groupe qui a fait effet, les armes des croisés s’arrétant au niveau de la barrière érigée, Sheitan a pu de l’intérieur placé son attaque grace à l’allonge de son arme.
Après une telle boucherie, nous nous redirigeons vers le refuge pour faire le point que ce que nous avons appris.
Tout le monde tombe d’accord sur le fait que nous avons besoin d’information avant de prendre une décision concernant cette bague.
Prenant confiance dans mes capacités de protection, je décide de jouer un peu plus cartes sur tables avec les membres de notre groupe et partage les informations que je détiens, en prenant soin d’éviter de mentionner les autres salubriens de la ville de Jérusalem.
Au fil de la discussion, j’apprend que la bague aurait été crée par un ancien Brujah, adepte de l’équilibre entre les humains, caïnites et fils de seth. Il nous faut donc chercher dans cette direction pour apprendre comment elle fonctionne exactement.
Cet objet est clairement magique, et l’étude de la magie est l’apanage des Tremeres de nos jours. Je préviens donc mes amirs que je n’irais pas dans cette direction, il est suffisement compliqué de survivre sans en plus se jeter dans la gueule du loup.
Fidelma nous cite le nom du Grand Albert, un brujah qui aurait une réputation d’étude en magie noire et cabale suffisement importante pour qu’une des partie de ces travaux puissent nous eclairer.
Nosu décidons donc de nous diriger vers l’endroit le plus imporant lors de telle recherche : la grande bibliothèque de Jérusalem.
Je n’avais pas pensé en en parlant qu’elle était situé sur des lieux saints et au fur et à mesure de l’avancée nous nous sentons de plus en plus mal à l’aise.
Grace à Sheitan, nous faisons a nouveau appel aux rats pour que ces derniers nous guident en toute discrétion vers la bibliothèque. Ils nous mènent donc pile en dessous de la bibliothèque. Lors de la remontée, nous perdons Bashir dont le malaise est trop important pour qu’il continue.
Arrivé au milieu du scriptorium, le feu nous met encore plus mal à l’aise que précédemment et surtout nous nous rendons compte que tous les ouvrages sont en hébreux. Ne comprenant pas cette langue, je ne peux être que d’une piètre utilité.
Fidelma et Blanche arrivent tout de même à trouver un ouvrage parlant du Grand Albert, expliquant que ce dernier a principalement la Torah.
Nous redescendons presque bredouille, et en bas, Bashir nous indique avoir trouver quelqu’un qui souhaite nous voir, et que c’est une des prophéties qu’il attendait de se voir réaliser. L’ensemble du groupe décide de la suivre, je le fais tout de même à reculons, prudence due à ma dernière rencontre avec un assamite.
Nous debouchons sur une immense scriptorium souterrain, et un homme au centre, nous attendant effectivement.
Fidlema s’approche en toute confiance de cette personne et le salut, elle a l’air heureuse de la voir. Elle nous le présente comme un capadocien qu’elle cherchait depuis longtemps pour lui poser quelques questions, un grand érudit selon ses dires.
Je confirme au reste du groupe qu’il semble bien être un cappadocien même si je n’arrive pas à déterminer sa génération, et nul doute que c’est un érudit vu le nombre de livre qui l’entoure.
Fidelma présente Blanche au caïnite, il l’observe, et à notre grand etonnement lui enlève la bague qu’elle avait au doigt. Il examine cette dernière et la remet au doigt de Blanche.
Notre stupeur passée, notre demande d’explication trouve enfin des réponses.
La bague contient toute la connaissance qui est présente dans la Torah Noire. Un livre très ancien écrit en blanc et un parchemin noir et qui contient les vraies paroles de Dieu retranscrites mot pour mot, ainsi que l’histoire précise d’Adam, Caïn et Lilith. Certains appellent également cet ouvrage le livre de Nod. la bauqe détient donc toute la connaissance des Humains, Caïnites et Enfants de Seth. Elle a été forgé pour qu’un équilibre soit préservé au sein de la création et elle est intimement lié au quatres grandes cités de l’histoire.
Le cappadocien nous rappelle cette histoire.
La première cité fut Enok, créée par Cäïn et des trois enfants. ces trois enfants eurent au total 13 infants, les 13 lignées initiales des vampires. Mais ces 13 voulurent procréer malgré l’interdiction de leur 3 sires. Ils les tuèrenet donc et Caïn s’enfuit. Ce fut la perte de la première cité.
La seconde fut Carthage, créée par les brujahs comme hymne à l’équilibre, mais détruite elle aussi.
La troisième cité fut Rome et la quatrième Jérusalem.
Hors, pour que Jérusalem ne soit pas détruite comme les précedentes, il faut qu’un équilibre se récrée et que le pouvoir au sein de la cité change de main. Et c’est la que la bague entre en jeu. C’est le pouvoir de la bague qui permettra de rétablir l’equilibre et de maintenit Jérusalem en l’état.*
C’est bien la première information important et interessante que nous ayons sur le but de cette bague et de cette voie qui ne nous quitte plus depuis cette nuit dans le tunnel.
Je dois avouer ne pas me soucier de l’equilibre des forces en présences dans Jérusalem, mais de la survoe des gens sur place. S’il faut que le pouvoir change pour ça, je ne m’en souci pas, je n’irais pas contre. Je prends donc la décision, pour ma part, de suivre Blanche, porteuse de la bague dans son périple.
Par la suite, ce cappadocien distille d’autres informations à tout le monde. Dans un premier temps, il empeche, par un pouvoir, Bashir de parler ou d’exprimer son point de vue. faut-il y voir de sa part une méprisance du clan Assamite, un clan de mercenaire après tout ?
Il préviens Sheitan que les nosferatus n’ont pas tout le savoir ne toutes les réponse, cela a le don d’énerver visiblement Sheitan dans l’honneur de son clan reste une priorité.
Quand à moi, il me fait lire un passage du livre ne Nod concernant mon clan. Des paroles de Saulot directement retranscrites :
Sachez que vous avez été crée pour être détruits
Vous êtes les blancs agneaux
Le doux sacrifice
Vous êtes la plus grande part de la bonté de Caïn
Et vos épaules doivent supporter ses plus grands péchés,
Car je suis le seul à avoir demandé le pardon de l’Unique au-dessus de nous,
Et j’ai été tourmenté par les plus vils des démons de l’Unique au-dessous de nous
Ces serpents, qui m’ont mordu dans mon sommeil
Ces vils vers qui ont sucé mon sang,
J’ai appris d’eux à extraire la part la plus noire du sang
Les blessures de la chair
Le malin de l’esprit.
Et bien que je mourrais, mes enfants survivront.
Ouvrez vos Yeux, et voyez réellement le monde,
Ces paroles ne sont guères encourageantes … mais me font promettre de bien me garder de faire autre chose que de me défendre. Je dois laisser les affrontements au personnes qui m’entourent, car les dernières phrases sur la parties la plus noires du sang me fait craindre qu’une partie de mon clan ne soit trop corrompue. Je ne pourrais tenir cette position qu’un moment de toute façon, les affrontements viendront bien assez tôt je le sais bien, et je redoute ce moment …
Au milieu de mes questionnements intérieux, le cappadociens nous informent que de nombreuses caravanes de Ravnos partent régulièrement vers le nord du desert. Nous tombons d’accord sur le fait de profiter de ces caravanes pour nous rapprocher de notre but.
Le jour vient sur de nouvelles question quand à mon devenir, mais ma protection reste une priorité pour l’instant, ma protection et la santé des gens qui m’entourent feront ma force …