Les chroniques de Sheitan al-Dîn: Quatrième nuit-Deuxième partie

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Le jour est proche du lever. Chez Blanche, Bachir nous explique son plan d’établir une diablerie contre le vampire en torpeur récupéré dans la crypte. Nous sommes tous ensemble mais les dissensions apparaissent quant au chemin à suivre désormais pour notre aventure.

Nous décidons de réveiller le caînite en torpeur. visiblement, le caïnite semble plus ancien. Bachir indique qu’il s’agit d’un ventru à Fidelma. Nous mordons la créature avec Blanchemais elle se désséche aussitôt et disparaît en un petit tas de cendre. je suis écoeuré d’avoir mordu dans une créature sans intérêt. de la poussière plein la bouche, je ne comprends pas pourquoi la voix m’indiquait de le faire.

Le soleil se lève, nous tombons dans la petite mort.

T’es pas abonné à la liste?

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Ben si justement, et même à plein.

Et c’est bien ce qui pose problème! Je suis abonné à 22 listes de diffusion. Ben oui je suis assez multi tâche, vous pouvez noter ça les filles c’est assez rare chez nous les hommes. Donc 22 listes. C’est rien, pour la moitié, j’y suis abonné par obligation professionnelle parce que je participe à un truc et qu’un mec GENIAL a eu l’idée de faire une liste pour les gars qui participent à Ce Truc.

A noter que nous nous trouvons là dans le premier cas de la liste de diffusion, la liste professionnelle. Bref, vous travaillez quelque chose ou vous appartenez à un groupe et donc vous êtes abonnés à une liste de diffusion géniale qui vous transmets des infos géniales. Pour résumer, vous êtes prof de maths, et donc vous êtes automatiquement abonnés à la liste de profs de maths de l’académie, ou, OH Bonheur, vous recevez trois fois par an une info essentielle à votre survie, dont Une info de rentrée, des fois que votre boulot ait changé radicalement d’une année sur l’autre, Puis Une info de conférence, des fois que le copain du chef ne rencontre pas le succès souhaité (là je suis volontairement méchant parce que c’est pas toujours vrai mais ça dépend beaucoup de la matière, de l’académie,  et de l’Institution en question). Bref, ces listes là, on n’a pas le choix, ce qui est vraiment intéressant ce sont les listes que l’on choisit.

Alors les listes que l’on choisit, on les sélectionne par centre d’intérêt. Donc on s’abonne à la liste des amateurs de tourteau de basse Bretagne (ben oui, le tourteau il mute selon le coin de Bretagne), la liste des profs branchés de ceci et les profs branchés de cela, les amoureux originaires de l’Eure des Tiramisu chocolat citron vert, la liste des développeurs du nouveau langage obscur qui fait fureur en informatique, la liste des utilisateurs du logiciel à la mode qui vaut pas tripette mais qui est bien vu, la liste pédagogique qui tue la mort tellement elle est pédagogique et que comme ça tu peux dire à tes potes, t’as vu ça hier sur la liste pédagogique de la mort qui tue…..

Bref, pour différentes raisons, on s’abonne  à plein de listes. Alors, parce que ma pensée est souvent confuse et que je digresse plus vite que mon ombre, je suis abonné à 22 listes. Alors pourquoi j’écris un truc sur les listes de diffusion si je suis  abonné à autant.

Et bien pour la simple raison que sur ces 22 listes, il n’y a que 5 personnes. Bon je ne reviendrai pas sur un exercice précédent mais j’ai des gros soucis en mathématiques. Ben oui il y a seulement 5 personnes. Si ça avait été XOR j’aurais dit revoyons l’action au ralenti! mais non seulement XOR est mort d’une fin douloureuse (il paraît qu’à force de revoir l’action au ralenti il a fini par faire la voix du film de fin de soirée sur France 3 le dimanche), mais en plus, une liste de diffusion est toujours au ralenti.

Ben oui, sur une liste, on envoie un mail, et, en fonction de la modération, on reçoit une réponse ou une remarque 2 jours après. 2 Jours. Vous imaginez deux jours! Oups  I did it again comme dirait Britney! Là n’est pas notre propos.

Donc pour en revenir au sujet principal, sur mes 22 listes (oui moi j’ai de la mémoire mais comme vous lisez en diagonale, vous êtes en train de vous dire mais qu’est-ce qu’il raconte), il n’y a que 5 personnes. non je ne suis pas totalement dingue, je ne m’abonne pas à n’importe quoi!

il y a tout d’abord A. A est à l’origine de la liste donc il envoie des trucs dessus parce que comme il fait partie des pionniers, il croit en son utilité. Donc A envoie des trucs en rapport avec le sujet d’il y a 10 ans, parce qu’à l’époque c’était le seul moyen de diffuser l’info. Mais A, il l’aime tellement sa liste qu’il continue, et comme il ne connait pas d’autres moyens, il persévère. A est le personnage honorable de la liste. Il y croit, et il pense qu’envoyer un mail vous annonçant la conférence de son frangin qui est tellement fort dans votre matière, est une bonne chose. il le fait de bon cœur. Je n’ai rien contre A, les anciens ont des droits (et je n’ai pas attendu la canicule pour le reconnaître)

Mais sur la liste, il y a aussi B. B, il est abonné à la liste mais il n’a rien à voir avec le sujet. Je pense que B s’est abonné par un profond ennui existentiel. Mais B, il a un avantage sur nous tous. B, il est plus diplômé que tout le monde, il connaît plus de monde que tout le monde. Alors B, comme il a la science infuse, et qu’il t’enfonce tellement il a fait des études supérieures que toi t’as que un CAPES, que quand il dit quelque chose, il croit qu’il va changer ta vie. En fait B il sait pas que t’en à rien à foutre de son discours inutile qui n’a rien à voir et que, le fait qu’il connaisse Linus T.  en personne, ça te fait ni chaud ni froid, parce qu’en réalité ta préoccupation du lendemain c’est de préparer ton cours, de savoir ce que tu vas faire à manger (surtout si tu habites dans l’Eure) et comment tu vas passionner des élèves qui se foutent aussi que l’on connaisse Linus en personne.

ça c’est la deuxième. La Troisième est C! Original, ben non, je précise que je suis déjà un homme multitâche et que donc je ne vais pas en plus chercher l’originalité pour être parfait. C, il appartient bien au domaine, mais lui, il a un truc de plus que toi, crétin de lecteur qui traîne sur un blog au lieu de lire C. C il a l’INFO. Et quand C il a l’INFO, et bien il veut la donner à tout le monde, parce que l’INFO c’est la VERITE. Donc C il te donne l’info, la vraie. L’info que tu as lu il y a trois mois via tes flux RSS ou via twitter, mais l’info quand même. Ou alors, c’est une option, C, il lit les trucs mieux que toi, alors il a lu le même truc que toi (souvent sans intérêt d’ailleurs) et il l’explique à tout le monde sur la liste. C n’est pas intéressant, mais il le croit, et ça c’est bien pour sa santé mentale.

Il y a aussi D. D débute dans la chose, quelle qu’elle soit, il y a toujours un D. D, il s’est récemment abonné. C’est le personnage le plus intéressant d’ailleurs de la liste. Il s’est donc abonné il y a peu parce que le tourteau, ça le passionne et qu’il voudrait en apprendre plus et apprendre aux autres aussi. Donc D, il s’abonne, il est sincère! Et au final, D il se désabonne parce que A essaie de lui apprendre que tourteau est un crabe et qu’il le sait déjà. Mais comme il ne fait rien sur un coup de tête, il réfléchit et il continue à lire la liste. Alors il lit B, mais B ne lui apprend rien parce que B, il te relie le tourteau au contexte économique mondial et il t’explique qu’à cause du tourteau et ben les petits chinois doivent travailler dans les usines (à noter que B pour ceux qui ne suivent pas une conversation est celui qui n’y connait rien mais s’emmerde dans la vie). Alors D doute parce que D il a moins de diplômes que B. mais il continue à lire la liste. Alors il lit C. Et là, il se désabonne parce que C lui apprend que les dernières découvertes sur le tourteau d’il y a deux ans (ben oui C il date) montrent que les protéines du tourteau sont supérieures à celles de la viande. Et là c’est la drame. LE drame parce que non seulement, mon amour pour la côte de boeuf, m’empêche de croire pareil ineptie, et surtout parce que cette info c’est D qui l’a révélée il y a deux ans. Alors pourquoi s’abonner à une liste de ce genre et D se désabonne.

Enfin  il  y a E. E; il s’est abonné parce que c’est son domaine, parce qu’il croit que l’échange est source de progrès; parce que toute info est bonne à prendre. Et E, est le seul qui va rester sur la liste par bon esprit. E il reste parce qu’il espère avoir des infos intéressantes. Alors E, il filtre, il ne lit plus A, dépassé, B, inutile, C dépassé et prétentieux. Alors E, il lit la liste dans l’espoir que D l’utilise et diffuse des vrais informations.

Bon après cette longue digression. Quelle est la vraie question. Je dis ça juste pour les personnes qui ont mal compris mon article sur le TBI. La vraie question est, est-ce qu’une liste de diffusion est encore utile alors que l’info circule plus vite par les réseaux sociaux? Et surtout, les listes de diffusion ne sont-elles pas mortes tout simplement?

Alors pour finir cette digression interminable, je terminerai par la seule liste que j’ai connu comme utile. Et je fais là en quelque sorte un hommage à 16 personnes. Il fut un temps où je fus Animateur de secteur (seuls ceux de l’académie de Rouen savent de quoi je parle). J’étais abonné à une liste de diffusion pour ces animateurs de secteurs (16 personnes). Et bien sur cette liste de 16 personnes, il n’y avait pas de A, il n’y avait pas de B, il n’y avait pas de C. Il n’y avait que des D et E. Parce que sur cette liste, le seul intérêt était de diffuser l’info et de répondre à la question. Bref, sur cette liste, tu avais une info, tu la mettais, on te disait merci. Tu demandais, on te répondait, et tu disais merci. Une liste de diffusion peut-elle encore être utile? Je ne répondrais pas car pour les ignares, je suis encore abonné à 22 listes de diffusion, mais je n’en regrette qu’une!

Et la question qui m’importe de plus en plus, je ne veux pas voir de A,B,C sur Twitter, est-ce possible? Pour l’instant je n’ai vu que des B s’introduire dans le système, espérons que les autres ne viennent jamais!

Sambor, quatrième nuit

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Le reveil après une telle agression et mon état de blessure actuel ne me laissent guère de choix.
Bashir n’est pas intervenu dans le combat, c’est une certitude. Je le comprends, le lien de son clan et il ne m’a jamais agréssé, je ne peux rien craindre de lui directement, mais je dois ménager les informations que je lui donne.

En poitant le doigt vers Fidelma, Blanche et Bashir, je leur fait comprendre qu’il faut aller voir Ahamed. Je demande à Sheitan de me conduire à l’hopital. Sur place, Aisha sera la pour me seconder dans ma guérison.
Etonnamant, tout se déroule selon mes demandes, sans questions supplémentaires …

Arrivés à l’hopital, Aisha me prend en main. Elle me permet de me nourir sur une femme et son enfant tous les deux mourrants. Je me nourris sur eux et Aisha m’arrache à leur gorge jsute avant de les tuer. Un don du sommeil et leur faiblesse leur permettra de s’éteindre dans le calme.
Je fais un point rapide avec ma collègue salubrien sur mon agression et le fait qu’un contrat plane sur les salubriens de la ville. Elle préviendra nahum du danger.

En ressortant, je m’apercois qu’elle a du prendre soin de Sheitan aussi, puisqu’il a l’air en meilleur forme que quand je suis arrivé.
Il me demande de l’accompagner au refuge des Nosferatus, ils auraient des question à me poser en tatn que Salubien. Je ne suis pas en position de refuser, il me faut des appuis pour me protéger ainsi que protéger Aisha et Nahum.
En route cette protection me perturbe et me fait refléchir. Certes, j’aperçois une nouvelle utilisation de mes pouvoirs de clan pour enpècher les gens d’approcher de moi, mais je dois faire plus. La rapidité des attaques deu caînites et mon impossibilité à me défendre seul me laisse perplexe.
Ais-je fait les bons choix pour la survie de mon clan, dois-je modifier mon comportement, la voie que je suis pour aider à cette surive qui reste ma priorité? Je sais que certains membres de mon cla ont été de fiers guerriers en utilisant différement le Valeren, et que d’autres pouvoirs de vampires servent aussi en combat …
Le retard d’apprentissage que j’ai pris est-il irratrapable …

Mon questionnement s’arrete au moment ou l’odeur deveitn difficlement supportable, nous arrivons chez les Nosferatis.

Rapidement, nous sommes mis en présence de Ephraïm et des deux autres caïnites de haut rang. Je m’apervevrais plus tard qu’à priori il y avait un Nosferatu plus puissnt qu’Ephraim, et un assamite.
La discussion tourne rapidement autour de Nahum que ces trois personnes semblent connaitre. nahum serait le premier d’entre eux arrivés à jérusalem et tous ont l’air de le respecter à un plus haut point. Il en ressort qu’il est en grand danger, et que je dois moi-même le protéger. Il va donc falloir que je retravaille sur mes interrogations précédentes.
Un phrase « Nahum sait qui doit reigner sur Jérusalem » me met la puce à l’oreille. Etheria est donc juste un pion dans cette histoire, mais ces adversaires sont les véritables adversaires de Nahum.
Je précise donc aux personne présente qu’il me semble dans notre intérêt de suivre Etheria pour connaitres nos adversaires avant de retrouver Nahum.

Nous retournons docn au refuge près du capitaine Launay.
Avant de commencer l’interrogatoire, je vérifie son état physique et mental pour être sur qu’il soit en état de répondre à nos questions.

Fidelma et Blanche mène l’interogatoire. Rapidement vient le nom du Diable Jaune. Au passage Bashir nous informe que Launay avait rever de cette personne pendant la nuit, et avait prononcer son nom.
Dès que ce nom fut prononcé, la terreur prend possession du Capitaine Launay, et seul un morceau de pain que Balnche sortit de sa toge le calma. Le capitaine Launay a eu l’impression de communier au sens chrétien du terme grace à ce bout de pain, et sembla docilement répondre aux questions suivantes …
Nous apprenons que Agnès, la niète du patriarche et lui sont allé le soir du tremblement de terre dans une maison du quartier Arménien mais que cette dernière s’est écroulée lors de la catastrophe, ce qui a séparé Launay et Agnès.
Quand on lui demande qui est le Diable Jaune, il nous dit qu’une main lui traverse la tête avec une bague verte … tout le reste semble bien flou.
L’agitation autour de l’interrogatoire rend Blache un peu instable, un d’un coup, elle sort une croix de sous sa toge et nous intime l’ordre de sortir. Nous sommes tous sous le choc, cet ordre irradie d’une aura divinie qu’aucun de nous ne sembel vouloir affronter, nous sortons donc en laissant Blanche avec Launay.

Peu après, ils sortent tous les deux. Blanche nous indique que le capitaine Lauany va nous conduire à la maison, mais qu’avant il faut passer au palais pour récupérer la clef.
Nous indiquons à Launay que la clef n’est plus un problème si la maison est effondrée, et que nous rions plus vite soigner Agnès si nous ne passons pas par le palais. Cette solution semble le motiver et nous nous dirigeons rapidement vers le quartier Arménien.

La maison est effectivement delabré, et nous entrons en force dedans grace à Sheitan et Bashir. Par un souci de prudence, et une fois que nous avons vérifié que personne n’était la, je mets en place devant la porte la table du salon que les passants ne puissent voir ce qui se passe à l’intérieur.
Nous descendons par une trappe jusqu’à un eboulis. Les quelques pierres ne resistent pas longtemps et nous découvrons deux corps derrières.
Le premier, humain et très faible est celui d’Agnès. Au moins nous l’avons retrouvé et personne n’a pu se servir d’elle. Etheria sera au moins contente pour ça.
Le second est totalement desseché. Des marques de morsure dans le cou et des traces de coupures de veine sur les poignets … il semblerait que ce soit un vampire qui ait pris soin de garder Agnès en vie en lui offrant son sang. Les fluides vitaux d’Agnès sont toujours humains … pas de risque de ce côté la. Nous tombons d’accrod sur le fait que le vampire est surement Ahmed le faiseur de rêve.

Un mur au fond de la pièce retient tout d’un coup mon attention, un mur dont une petite dizaine de birque est tombé. ce mur a l’air d’avoir été érigé il y a 300 ans au moins …
En méris de toute prudence, Blanche s’approche de ce trou pour voir ce qu’il se passe.

Soudain une forme jaune vaporeuse surgit et entoure Blanche.
Launay, pris de folie court vers la sortie en hurlant « Le Diable Jaune, Le Diable Jaune » ….
La forme quand à elle continue à tourner autour de Blanche puis se fixe sur son abdomen. Des voies dans nos têtes résonnes d’une seule phrase « Allah Acbar Allah est grand »
Bashir et Fidlema tombre à genou … Malgré cette voix dans ma tête qui m’empèche de me concentrer, je tente de vérifier l’état de Blanche et de trouver un moyen de la débarasser de cette forme.
Toute son aura est identique à la personne que j’avais rencontré lors de cette primère nuit, je m’inquiète donc un peu moins, mais la forme, elle,continue de se concetrer sur l’abdomen de Blanche jusqu’à disparaitre. A ce moment, les cheveux de Blanche prenne la couleur de son prénom, et une cague vert apparait à son doigt.
Les voix continuent de plus en plus fort, en nous donnant en plus des indications de lieu, Désert, Nord …. je déteste qu’on me dise ce qu’il faut que je fasse sans comprendre …

Je propose, au dessus de brouhaha dans nos têtes, que nous emmenions Agnès à l’hopital avant de quérir Etheria, pour enfin être débarasser de cette dette. Fidelma a l’air tout à fait en accord avec ce que je dis … par contre, les trois autres membres de notre groupe semblent en transe et tout de suite sortent du tunnel.

En les voyant partir, nous nous apercevons avec Fidelma que les cheveux de Sheitan commencent à blanchir.
Je ne peux m’emepcher de les prendre pour des imbéciles à obéïr aveuglement à une forme jaune … peut être n’ont-ils pas le choix.
Je me promets donc d’aller esl chercher après avoir régler le souci d’Eheria ….

Après cette séparation, nous nous dirigeons avec Fidelma verrs l’hôpital ou nous y déposons Agnès. Nous prenons bien soin de ne pas reveler son identité, ca attiererais beaucoup trop de convoitise.
Par la suite, nous nous dirigeons vers la batisse ou nous avons rencontré Ethéria la première fois. Elle n’est pas la, bien entendu, la fuite des difficultés est tellement plus simple. Nous laissons donc le message comme quoi nous avons retrouvé la personne qu’elle cherchait et qu’elle est en bonne santé.
Message suffisament vague pour qu’elle comprenne, mais pas assez explicite pour d’autres oreilles attentives.

Le jour se levant, nous nous dirigeons à nouveau vers le refuge de Blanche.
Surprise sur place, le reste de notre groupe est présent, moi qui pensait devoir les pister à travers le désert.
Bashir et Sheit’An essaient visiblement de convaincre Blanche de faire une diablerie sur le vampire desseché que nous avons retrouvé. Je les laisse à leur discussion ne comprenant pas bien pourquoi faire une diablerie pour gagner en génération si nous ne sommes pas préparés à affronter les convoitises que notre rang attiera forcément.

Fidelma, elle, tente de dissuader Blanche et la discssion s’anime. Comme à chaque fois, Blanche coupe court à la discussion en prenant elle même la décision et absrobe donc l’âme du vampire.

Le jour se lève, le sommeil nous prend avant que nous ayons eu le temps d’identifier les éventuels changements.

Sambor, troisième nuit

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Se reveiller avec un objectif bien précis, voila qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps.
Seule piste que nous avons à mon reveil, un certain Ahmed dans le quartier Arménien … un peu vague surtout avec un nom aussi connu que ça, mais s’il entretient une relation avec la nièce du patriarche, cela fait un signe particulier qu’avec un peu de chance quelqu’un aura remarquer.

En nous dirgeant vers ce quartier, Sheitan souhaite me poser quelques questions discrètement. Il nou ssuffit juste de ralentir le pas.
L’ensemble de ces questions va dans le sens de la connaissance de mon clan … pourquoi vouloir y répondre franchement vu ma position ? Je réponds donc non à toutes ses affirmations qui vont des brujahs aux tremeres en passant par les gangrels et bien sûr Salubrien. Mes réponses n’ont pas l’air de l’étonner et ont l’air de lui suffire …

En route, Sheitan nous dit avoir découvert également  qu’un certain Hugues, membre de la garde du patriarche, passe beaucoup de temps en ce moment du côté de la léproserie, véritable cimetierre pour lépreux en ville, à la recherche du capitaine Launay.
Bien que cette piste a l’air plus fiable, notre proximité du quartier arménien nous incie à aller chercher des informations de ce côté. Nous nous séparons rapidement et le nom d’Ahmed le faiseur de rêve revient souvent dans les conversations des gens. Nous cherchons donc les endroits qu’il a l’habitude de fréquenter.
A priori responable d’un réseau de prostitution, l’aborder sera plus facile avec des demandes assez exotiques … et c’est Bashirn Fidelma et Blanche qui se charge de le contacter.
Dix minutes plus tard, les trois caïnites ressortent en nous indiquant qu’ils ont rendez vous le lendemain en début de nuit avec ce Ahmed … Faiseur de rêve, cela risque fort d’être une personne detenant certains pouvoirs, voire un caïnite.

Cette piste là étant déjà refermée, nous décidons de chercher ce faleux Hugues pres de la léproserie, une ancienne églisee chrétienne condamnée et gardée par un groupe de quatre gardes.
Retrouver un humain qui ne sait que mal se dissimuler est assez facile pour nous qui avons l’habitude de chasser, du moins pour ceux qui se nourrissent comme ça. Une simple discussion nous apprend qu’il a apercu des gardes du palais amené ici le pauvre Launay et l’enfermer au beau milieu des lépreux.

Quatres gardes ne sont que pue de choses pour 5 caïnites sachant utiliser leur pouvoir, et ils ont l’air nettement moins bien entrainer que le précedent, puisqu’en très peu de temps, l’un fuit devant Blanche, l’autre se recroqueville devant Fidelma, le troisième voit sa tête faire un quart de tour entre les mains de Sheitan et j’endors le quatrième …
La route de la léproserie nous est donc ouverte, et nous entrons dans l’église.

Dès l’entrée, l’odeur de mort et de décomposition nous prend à la gorge et nous met mal à l’aise. Cette odeur est encore plus intense quand nous ouvrons la trappe qui permet d’accéder aux catacombes, et au véritable mourroir.
La vision ici est macabre, le sol est jonché d’os et de extréments … de cagues formes semblent bouger au loin et certaines essaient de nous aggriper au sol. Nous avançons tout de même d’un bon pas vers ce qui semble être des lumières.
Arrivée au plus près, nous voyons un groupe lépruex entourant ce qui semble être celui qui est le plus en forme. Un autre attroupement a lieu autour d’un tonneau ou est emprisonné un homme qui fait office d’objet sexuel pour les lérpeux présents.

Le mieux portants se fait appeler Roi des lépreux quand il se présente à nous, en nous menacant de devenir à notre tour les objets sexuels de ses suivants. Que n’a-t-il pas oser dire là…
Bashir et Sheitan se jette sur la cour de Roi des Lépreux avec une vitesse depassant l’entendement, et Fidelma utilise également une vitesse accrue en sortant ses griffes pour elle s’attaquer à la trappe par laquelle nous sommes venus. Elle n’a pas du pouvoir se controler à cause de l’odeur de la pièce …
Avec une confiance en nos deux combattants, je ramasse pour ma part un bon d’os par terre et me précipite vers le tonneau. Un coup bien placé et le cerclage saute …
Juste après j’entends nbashir hurler un défi à tous les lépreux  en lançant la tête de l’ancien roi des lépreux commme trophée. Par peur de nous ou par avidité, tous les lépreux présents se précipitèrent vers la tête sans vie.
Nous en profitâmes pour nous eclipser. Fidelma avait finalement réussi à ouvrir et à sortir, Bashir prit Balnche sur son épaule et Sheitan pris l’infortuné Capitaine Launay. Il eu en plus assez de force pour me hisser par la trappe avec son seul bras de libre pour me permettre de sortir.

A l’extérieur, nous retrouvons Fidelma en position catatonique mais elle repris rapidement le dessus parès quelques paroles réconfortantes de Bashir.
Nous eûmes une longue discussion sur le devenir du Capitaine Launay. Je suis assez fervent de le remettre à l’hopital. En effet, un bref examen de ses fluides me fait penser qu’il n’a pas contracter la lèpre, et à l’hopital, non seulement j’aurais un oeil sur lui, mais en plus, il sera en sécurité sosu l’anonymat de son admission.
La majorité se rallie finalement à la décision d’amener le capitaine au refuge de Fidelma et Blanche ou il pourra être surveiller par les goules.

En partant de la leproserie, j’apercois une forme sombre nous observer puis disparaitre … surement quelqu’un qui surveillait le capitains afin qu’il ne devoile pas ce qu’il sait. Seuls Sheitan et Blanche semble ne rien avoir vu, je les previens tout de même et nous continuons notre périple, avec un Bashir qui a à nouveau disparu.
En arrivant au refuge delabré, nous entrons tous pour se mettre à l’abri. Vu la vétusté de la maison, je commence par remettre la porte en état et surtout augmenter la sécurité grace à l’aide d’Augustine, la goule de Blanche, et Sheitan.

Encore une fois, l’aube approche. Ne me sentant pas à l’aise dans un refuge que je ne connais pas, je sors pour me diriger vers l’hopital. Je pense également à prevenir Nahum du danger qui semble peser sur les salubriens de Jérusalem.
Peut être cela m’a-t-il empécher de voir le coup arriver ….

La forme sombre me tombe dessus, deux yeux rouges sombres, un kriss à la main …. un assassin, un assamite. Moi qui pensait qu’il était la pour le capitaine launay .. il est venur pour moi. Il me faut gagner du temps, Bashir et Sheitan sortiront bientôt et pourront m’aider. Je puise dans mes résèrves de sang pour pouvoir agir plus facilement
J’esquive le premier coup … ma sa rapidité égale facilement celle de Bashir et les deux prochains coups font mouche .. me blessant grièvement. Dans mon esquive je tente de me rapprocher du refuge en espérant raccourcir la distance de Sheitan et Bashir.
Tout d’un coup, j’entend Bashir demander si mon assaillant suit les preceptes du Cabah…. Ce dernier, étonné, lui répond de ne pas se meler de ce combat et des affaires des suivants de Mahommet … J’espère sincèrement que Bashir désobeïra, mais le fidelité au clan est sûrement forte ? Il me restera de toute façon Sheitan.
Deux coups de plus font mouche, mon état s’aggrave de plus en plus … et en plus, ce caïnite crache sur sa lame, surement un poison bien trop dangereux pour moi.
Sheitan n’intervient toujours pas, cela me semble bizarre vu sa rapidité, je ne vois d’autre échappatoire que de contrattaquer en éspérant que cela désarconne suffisament mon assaillant pour le mettre en fuite. Je ramasse donc un bout de bois par terre et le frappe de toutes mes forces. Malheureusement, ce maigre bout de bois rencontre de l’acier.
Deux attaques suplémentaires de mon assailant me rendent handicapé, incapable de bouger, l’assamite me prend à la gorge par ses crocs … la fin approche et tout se brouille.
Ce ne sont que des formes maitenant … mon agresseur est arraché à ma gorge, je tombe par terre …. Fidelma et Blanche semble me tirer vers leur refuge et me nourisse de leur sang …

Puis vient la torpeur avant l’aube qui approche … je sombre sans questions, et pourant …

Sambor, seconde nuit

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Un reveil de plus au sein de Jérusalem.
Après avoir bien veillé aux soins de quelques personnes que je suis à l’hôpital, je me rends à la porte du Lion, porte par laquelle mes associés de la veille vont arriver.
Les apercevant de loin, ils ont l’air plus faible que la veille, bien étrange comportement encore que des vampires qui ne pensent à se nourir avant une nuit …

Mais nous sommes tous pris rapidement d’un nouveau besoin qui s’impose à nous. Je deteste toujours autant ne pas avoir la maitrise de mes décisions. Ce besoin nous guide dans la quartier chrétien, pres d’une maison bien riche extérieurement.
Après le passage devant de nombreux humains tous aussi autain les uns que les autres et revérencieux, nous arrivons enfin devant une femme qui se présente en tant qu’Etheria.
La discussion est brève, trop brève et menée entièrement par cette dernière. La encore, pas de possibilité de faire quoique ce soir, ce qui m’enèrve toujours autant, surtout quant un hurlement lointaint nous rappelle que la nuit précédente, nous n’avions eu guère de choix également.
Enfin, nous apprenons que chacun d’entre nous a une dette envers Etheria (je me gade bien de dire que ce n’est pas mon cas) et que son contrôle de Jérusalem est fragilisé en ce moment. En effet, la nière du patriarche chrétien de la cité a disparu. Etheria, visiblement, craint que la faction qui est opposée à son contrôle n’est pris possession de la nièce qui se nomme Agnès afin de faire pression sur le patriarche pour prendre des décisions.
Puis la réunion s’achève … même pas le temps de demander un laisser-passer afin de parler au patriarche qui a peut-être des information pour nous.

En ressortant, nous nous apercevons que nous avons peu d’informations et peu de pistes pour entamer notre enquête. C’est à ce moment que Sheitan nous parle de sa discussion avec les rats.
Il semblerait que les lépereux pourraient être à l’origine de ce tremblement de terre. Nous tombons tous d’accord pour aller donc rendre visite au clan des lépreux situés en dehors de la ville, clans des lépreux surement dirigés par des Nosferatus, de siples humains ne pouvant être à l’originie d’un tel cataclysme.

Sortir de Jérusalem est un jeu d’enfants, personne ne fait vraiement attention à ce qui sort par la porte donnant au clan des lépreux.
Arrivés sur place, Sheitan semble être sur de son fait et avance clairement pour se présenter et demander à parler au responsable du clan. En montrant son bras, j’apercois clairment des traces de la lèpre que je reconnais facilement. Cette maladie semble lui ouvrir les portes du sanctuaire, et les leprux sur place invite Fidelma et moi même à accompagner Sheitan.

On nous amène donc devant un certain Ephraïm. La puissance de ce Nosferatu depasse largement nos maigres capacités, et j’espère qu’il n’est pas hostile. Il tourne un temps autour de nous, et se rapprochant de moi soulève le turban que j’ai sur le frond.
« C’est une bonne chose que vous arriviez à dissimuler votre don. Votre survie n’en sera que faciliter »
Cette seule phrase me conforte dans l’étendue de son pouvoir, et me réconforte. Ce caïnite aurait été hostile, je serais déjà mort.
Ensuite, la discussion tourne rapidement vers Etheria. Après quelques informations que je ne saisis pas bien vers Sheitan, Ephraim nous apprend que la nièce du patriarche partait souvent en cachette accompagnée du garde Launay qui était affecté à sa surveillance.
Enfin une piste … c’est déjà  ça de pris. En prenant congés, je prie pour que ma présence ici ne sorte pas de ce camp … ma sécurité est déjà sufisement précaire comme ça.

Lors du retour vers Jérusalem, nous partageons ces informations avec Bashir et Blanche qui nous attendaient patiemment dehors. La décision est donc prise d’aller directement au palais pour prendre des informations sur ce Launay.

Arrivée devant le palais, nous essayames de recupérer un garde pour l’interroger. Nous avons du tomber sur un garde surentrainer, Bashir et Sheitan ont eu du mal à l’assomer, et j’ai du m’y reprendre à deux fois avant de l’endormir. Seul fait interessant, Bashir sait créer une sorte de zone de silence afin de renforcer la discrétion de l’opération. Décidement, toutes ses actions ont l’air d’être effectué dans ce but.
Mais l’interrogatoire de ce garde ne donna rien, les gardes ne se connaissent pas vraiement les uns les autres …. il nous faut donc trouver un autre moyen de contacter ce capitaine de la garde.

Nous décidames donc de nous rendre à l’intéirue du quartier chrétien afin de trouver sa famille. Les patrouilles sont nombreuses et je guide notre groupe afin de les eviter er de trouver la plus petite pour trouver nos informations.
En se présentant à la patrouille, Fidelma leur intime l’ordre de leur donner l’adresse du capitaine Launay. Le chef de la patrouille ayant l’air de tourner autour du pot, Fidelma se fait plus autoritaire par l’utilisation d’un pouvoir caïnite et obtient les information nécessaires.

Nous nous dirigeons donc rapidement vers la maison. pendant que j’étudie la porte pour essayer de l’ouvrir dans trop de fracas avec la hache de Sheitan, Bashir se faufile par le haut de la batisse pour nous ouvrir de l’intérieur.
Trois personnes sur place suivant ce que j’entends, une au rez de chaussée deux à l’étage. Je me dirige donc avec Fidelma vers la pièce ou la personne du rez de chaussée loge afin d’essayer de la maitriser calmement avant qu’elle ne hurle.
Au même moment, la patrouille que nous avions croisé entre dans la maison afin de vérifier si la famille du capitaine Launay va bien.
Encore une fois, rapidement la situation dégénère en boucherie. Sheitan taillant rapidement dans le flan de deux gardes, les deux autres étant eviscérés par Bashir qui a sorti des kriss de sous sa toge. Même Fidelma a pris part au combat en empéchant de chef de patrouille de se servir d’une torche. Tout va tellement vite … tout sauf Blanche qui essaye de rattraper un garde à l’éxtérieur et encore une fois, cela dérape et elle se nourrit sur lui en pleine rue.
Bashir et Sheitan ramène tout le monde à l’intérieur quand j’entends des sanglots à l’étage. En entrant dans la chambre, la femme et la fille du capitaine Launay se trouve sur le lit, apeurées par tous les cris et bruits au rez de chaussée et la femme me menace du couteau.
Approchant doucement de la femme, je mets doucement ma main sur le couteau. Ne sentant pas de menace, elle me laisse l’approcher et dès que je peux la toucher, je l’endors. Puis j’endors sa fille.

A la vue du carnage dans la maison, nous passons par les toits pour nous echapper et trouver un endroit pour interroger la femme et la fille du capitaine.
Plus au calme, nous les reveillons naturellement et par souci de confiance, ce sont les deux nonnes qui mènent l’interrogatoire. Même si je suis éloigné, j’entends tout de même que la femme reclame à être menée au palais pour revoir son mari qu’elle n’a pas vu depuis longtemps, et que la fille veuet sa poupée. blanche lui remet un bout de chiffon et la jeune fille se calme immédiatement.

Notre chemin mène donc à nouveau vers le palais.
Blanche, Fidelma et Bashir vont pouvoir entrer dans le palais en accompagnant la femme de Launay.
Sheitan lui semble a nouveau parler aux rats. Il semblerait qu’un chemin présent depuis le vieux Jérusalem maitenant souterrain puisse mener à l’interieur du palais. Nous empruntons avec Sheitan ce passage et retrouvons le reste de notre groupe de fortune à l’intérieur.
Les appartements de la nièce nous sont toujours inaccessibles mais la encore, les paroles des rats vont nous aider. En effet, il nous indique un autre chemin existant sortant du pièce du palais qui sent mauvais pour les rats. Cela semble logique, si la nière arrive a partir sans attirer l’attention, elle connait forcément un passage tel que celui la.

Nous remontons donc le passage vers le palais et aboutissons dans la chambre de la nièce du patriarche. Une rapide investigation menée par Fidelma nous fait découvrir dans lettre d’amour signé d’un certain Ahmed, personne qu’elle va donc suremnt retrouver régulièrement.
Sheitan prend également un morceau d’etoffe. sachant parler également aux chiens, il en convoque un pour qu’il puisse suivre cette piste, grace au flair surdevelopper de l’animal. Cette piste nous mène directement au quartier arménien, mais le mélange des odeurs perturbe le chien qui ne peut nous en dire plus.

Encore une fois, l’aube apparait avec son flot de question mais également de réponse cette fois.
Même si nous ne savons toujours pas ou est Launay, le quartier arménien semble être enfin un bon début. Je suis moins méfiant envers Bashir, le combat que nous avons mené aurait été une parfaite occasion pour lui de me blesser et cela n’a pas été le cas. Par contre, il est hors de question qu’il me suive … il ne doit pas rencontrer Aisha. Il va falloir que je trouve un moyen de contrer son invisibilité.

Sambor, première nuit

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Voila déjà quelques temps que je suis à Jérusalem, des temps bien calmes, nous n’avons pas l’air d’être pourchassé ici, et je ne rencontre pas beaucoup de Caïnites. Cet état de fait est plutôt agréable pour moi, je ne cherche pas forcément à être repéré pour ce que je suis. En Europe, le clan Tremere étend son emprise.

Comme tous les soirs, je sors de l’hopital qui me sert de refuge pour prendre la température de la nuit, et profitez d’un peu de calme. Le quartier arabe reste le plus facile d’accès et le plus actif pour des gens de ma condition, et je me fonds plus facilement dans la foule. Les attaques dans un lieu public sont également moins fréquente.

Ce soir là, c’est à un croisement que mon avenir bascula. Deux personnes étant habillées en nonne, un grand gaillard bien trop emmitouflé pour la saison et un adolescent habillé comme un arabe, voila les personnes qui se retrouvèrement à former un cercle avec moi.
Rapidement, la discussion s’engagea entre Fidelma, Blanche (les deux nonnes) et Bashir (l’adolescent). Une disussion que je ne put comprendre, ils parlaient dans une langue inconnue de moi. Sheïtan prit également part à la discussion et rapidement le nom d’Etheria apparut dans la discussion.
Une rapide lecture des auras des ces personnes me confirma leur condition de vampires, une aura colérique et idéaliste pour Sheitan, calme pour Fidelma, heureuse, idéaliste, psychotique pour Blanche, ce qui soit dit en passant fait un curieux mélange. Seule l’aura de Bashir echappa à mes études, peut être avait-il la possibilité de camoufler cet aura.

J’appris rapidement que tout le monde avait été logé par Etheria, il semblait ne pas me croire quand je leur dit que je ne la connaissais pas et qu’elle ne m’ait pas logé. Ce n’était bien sûr qu’une part de la vérité, puisque mon mentor a une dette envers cette Etheria, mais je loge bbien par mes propres moyens.
La discussion tourna court quand tout le monde détourna les yeux vers un chien, un simple chien pour la plupart des humains, mais l’odeur de sang qui s’en dégageait et le fait qu’il ait pu attirer notre attention semble bien assez surnaturel pour que tout le monde se préoccupe de cet animal.

Comme un groupe soudé, nous avons commencé à suivre cet animal dès qu’il détala. Tous sauf Bashir, que je ne vois plus à nos cotés. L’odeur de sang était toujours présente, mais difficelement identifiable entre nos mouvements et l’odeur de décomposition qui emanait de Sheitan.
Ce dernier d’ailleurs nous confirmait qu’il fallait suivre ce chien, il semblait comprendre tous ces hurlements et aboiements.

C’est alors que Bashir reapparu. Nons seulement il pouvait dissimuler son aura, mais il pouvait disparaitre lui même entièrement. Et la réaction de Blanche fut tout aussi surprenant, elle appela out de suite Bashir par le nom d’ange Gabriel. Bashir ne contredit pas Blanche, disant que les noms n’avaient que peu d’importance. Fidelam elle semablait très sceptique et regarda Bashir de façon beaucoup plus supecte qu’auparavant.

Les chiens nous entouraient de plus en plus au fur et à mesure que vous avancions en direction d’une des portes de jérusalem, leur présence était de plus en plus oprécente.
A la sortie de Jérusalem, leur rythme s’accéléra en se dirigeant vers un moticule de terre bien eloigné. Bashir, Sheitan et Fidelma n’eurent aucune difficulté à suivre le rythme. Blanche également, mais la présence des chiens l’avait rendu frénétique, est ses mouvements semblaient complètement desordonnés quand elle courrait.
Ils arrivèrent donc nettement avant moi en haut de cette colline. Sheitan avait déja trouvé un abri sur ce monticule au cas ou nous n’aurions pas le temps de revenir à Jérusalem avant l’aube fatale.

C’est une fois arrivé en haut que tous les chiens présents s’applatirent par terre de peur, y compris l’alpha. Nous comprirent rapidement pourquo cette crainte, la terre commenceait doucement à frémir.
Puis survient un véritable tremblement de terre. Un catastrophe naturelle dont je n’avais pas l’habitude dans mes terres germaniques, et qui est bien impressionnante.
Une des plus grosse conséqence fut la couleur orangée que prit Jérusalem, de nombreux incendies s’étaient déclarés suivant les quartiers, et la panique semblait avoir pris le dessus.

Un rapide coup d’oeil à mes compagnons m’appris qu’ils souhaitaient retourner sur place. L’idée me plaisait assez, retourner vers le feu semblait assez contraire à nos craintes, mais nous pourrions esquiver facilement les brasiers en faisant attention.

De retour à Jérusalem, le feu et le sang mirent notre maitrise de soi à rude épreuve, mais cette fois ci, personne ne perdit pied, tout le monde resista à ces appels. C’est la que notre petit groupe se sépara pour la première fois. Fidelma et Blanche voulait prendre des nouvelles de leur refuge et Bashir les accompagna. Il me semblait étrange que des vampires montrent leur refuge à un caïnite qu’il ne connaisse que depuis très recemment, mais Blanche semble avoir une confiance aveugle envers Bashir.

Sheitan lui souhaitait aller chercher des informations auprès des siens, et cette activité me semblait nettement plus interessante. Nous nous dirigeâmes donc vers le quartier arménien.
La desolation, les pleurs, le feu était omniprésent dans ce quartier. Jsqu’à ce qu’un cri nous détourne, nous nous dirigions facilement dans les ruelles, passant facilement entre les humains qui ne se souciant que peu de notre présence.
En pénétrant dans la ruelle d’où venait le cri, un croisé caïnite en frénésie se releva vers nous delaissant une apauvre femme victime de sa folie.
L’assaut fut extrénement rapide, j’eu à peine le temps de retourner vers la rue principale pour éviter que des badauds ne voient la scène que Sheitan avait sorti une grosse hache d’arme de son dos et coupa littéralement en deux le croisé. Il faudra que je mette à profut cette force en cas de danger pour mon existance.
Par un souci de discrétion que me hante depuis le début de la traque, je commancaise directement par faire disparaitre les cicatrices de vampires du coup de la jeune femme grâce au Valeren. Je savais pertinnement que je ne pouvais la soigner, mais ce n »était pas la peine de rajouter une rumeur de monstre à la panique générale. Sheitan me regarda bizarrement,se rendit compte que les cicatrices avaient disparu d’un simple contact de ma main.
Rapidement, je pris également la tunique du croisé pour la bruler, la encore, pas la peine de rajouter la vengeance de tout un corps militaire au problème que j’ai déjà.

Sortie de la ruelle, nous arrivames rapidement à l’endroit que cherchait Sheitan. Il se mit à parler aux rats, leur demandant toutes les informations possibles sur ce tremblemetn de terre.
Ma maigre connaissance en animalisme me fit comprendre que les tremblements de terre était assez fréquent à Jérusalement mais que celui la sera imputable à un certain Messel, ce dernier faisant partie des lépreux.

Nous rejoignames ensuite Fidelma, Blanche et Bashir au refuge des nonnes. Ce dernier était une maison bien delabrée maitenant en plein quartier chrétien. Il semblerait que des goules appartenant à Blanche notemment prenne soin de ce lieu.
Décidement, ne pas garder secret l’endroit ou nous sommes le plus vulnérable me dépasse complètement.

L’aube approchant, mes compagnons d’infortune décidèrent de retourner au monticule de terre en dehors de Jérusalem pour passer la nuit, je me rendis pour ma part à l’hopital, mon refuge actuel, afin de pouvoir me nourir et de trouver un lieu calme afin de trouver le repos bien mérité.

Mon sommeil me vint avec de nombreuses questions : comment se fait-il qu’un chien nous ait réunis et sauver de ce tremblement de terre? Bashir, que je définissais comme Assamite, est-il à Jérusalem pour un contrat qui pourrait me concerner ?

Sambor, Prélude à la survie

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Enfant, je l’ai été il y a bien longtemps …
Enfant en pleine Forêt Noire, dans la fin du premier millénaire, enfant d’une famille de serf. Mais ce n’est pas la vie que mes parents voulaient pour moi, des parents epris de liberté mais totalement mis sous le joug du seigneur local. J’ai donc été caché longtemps, mais il arrive toujours un moment où l’on grandit lorsqu’on est humain, et le temps passant, caché un adolescent dans une vieille bocique n’était plus possible.
C’est donc un premier déchirement quand j’ai été contraint de partir en forêt, afin de vivre en ermite. Déchirement qui fut le prix  de ma liberté totale, braconnat, survivant grace aux différentes plantes forestières qu’on apprend vite à reconnaitre .
La forêt bientôt fut mon territoire, du moins je le croyais jusqu’à ce jour, jusqu’à mon second déchirement.

Un clan de Gangrel, voila ce qui se trouvait également dans cette forêt. Mes différentes visites des lieux, ma curiosité, ma soif de connaissance a été ma perte cette fois, il a fallu que je me rapproche un peu rop de ce clan, voulant voir quels humains pouvaient partager ma condition d’ermite.
C’est donc la que je me vis arracher la vie par un de ces Gangrels … commencant une vie de goule.
Il n’y a rien à dire sur une vie de goule … tous les mouvements se font par automatisme, sans reflexion, sans mémoire. Mais c’est également grace à cette période que mon âme a changé, la couleur de mon âme, la couleur de mon aura. La plupart des vampires les plus faibles me prendront pour un Gangrel, j’ai été trop longtemps impregné par leur présence …

C’est également à cette époque que les Tremere ont commencé leur croisade, leur génocide en ayant commencé par le meilleur d’entre nous : Saulot.
Et un des salubriens en fuite m’a permis d’entrer dans ma nouvelle condition de vampire. Il faut croire que c’est la seule solution qu’il a eu de me soigner de mon état de goule … et une nouvelle vie de fuite a commencé à cette époque pour moi.

Une fuite qui me mène à Jérusalem afin de rencontrer la personne qui sera un mentor pour moi : Nahul Ben Enoch.

TBI: Tableau Bien Inutile

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Il y a bien longtemps, j’ai rêvé d’avoir un TBI ou TNI. pourquoi? tout simplement parce que je veux tout connaître, je veux tout tester, j’étais impressionné par les articles de quelques pionniers qui en vantait les mérites pédagogiques.

Et puis, il y a quelques années, il est enfin arrivé. J’allais enfin avoir mon TBI à moi, le rêve. Puis j’utilisais ce TBI. Cela ne mérite pas de commentaires, on y reviendra. Puis des articles « pédagogiques » vantaient le mérite supérieur d’autres TBI. Alors je me disais, pourquoi je ne peux pas faire cela avec le mien. Alors je commandais le nouveau TBI, qui est tellement mieux que l’ancien tu peux le refourguer à un collègue qui veux juste tester. Le temps passant, profitant de la générosité d’un conseil général alors plus qu’ouvert, je fis acquérir à mon établissement huit TBI (on notera le fait que mon établissement est plus que bien équipé, enfin était). le dernier d’ailleurs je l’adore, y’a pas un fil qui déborde (y’a pas de fil du tout). Si vous voulez la pub, faut la demander.

Et puis un jour je me suis mis à réfléchir. Oui c’est très rare à vrai dire. En même temps ce n’est pas de ma faute, faut gérer 140 postes plus que vieillissant, 6 serveurs et des demandes étranges de la part de mes collègues (« C’est toi qui gère les transparents pour le vidéoprojecteur? »). Bon je réfléchis donc et je finis par me dire, mais pourquoi tous ses articles sur les TBI que l’on peut voir sur le NET (oui je dis encore le NET, je suis même persuadé d’avoir inventé le mot en 1996) et qu’est-ce que je fais avec?

Et puis ce matin je lis cet article! et je comprends tout. Pourquoi autant d’articles sur le TBI? C’est bien simple, si on lit bien cet article qui n’a aucune vertu publicitaire et aucun parti pris: Le TBI c’est un vidéoprojecteur. Alors là, il y en a qui vont dire que niveau sémantique, je suis à la ramasse. C’est pas de ma faute, on peut pas avoir dans la tête des script shell, action script et xml et parler un français correct. Faut dire qu’en plus, je côtoie des vendéens qui parlent en php, des nordistes qui me parlent de imachins (enfin je crois qu’ils utilisent une majuscule à I), et des normandes qui fraguent avec des compétences.

Donc, bien qu’à la ramasse en sémantique, je conclus que dans tous ces articles, et je dis bien tous, un TBI = Vidéoprojecteur, soit, s’il on en croit un autre nordiste avec l’accent du sud (ben oui il y en a, faut connaître l’éducation nationale), TBI²=Vidéoprojecteur2. Il suffit de lire ce fameux article. Que fait-on avec un TBI. Alors je résume, mais avec mes problèmes de langue, ça va pas être facile. Et bien avec un TBI on fait des powerpoint. Bon, je l’accorde, cela nécessite une petite explication. Qui a déjà vu un TBI dans la salle? non pas le tableau (qui ressemble d’ailleurs beaucoup à un tableau), le truc en train de focntionner avec son fameux logiciel? Et bien pour ceux qui en ont vu fonctionner, ils disposent tous DU logiciel de la mort, bien mieux que celui du concurrent d’ailleurs, qui permet de faire des powerpoint. Ah non, parce que des puristes vont me dire, sur le mien je peux faire des étiquettes que les élèves peuvent déplacer, c’est pour ça qu’il y a un I à TBI. (oui le I ça veut dire interactif). Alors là, mon cerveau ne fait qu’un tour (souvent il ne peut en faire qu’un: la double rotation du cerveau est à mon avis réservée aux profs de maths; il m’est arrivé d’observer des triples rotations mais le seul cas que j’ai pu observer était en arts plastiques).

Donc mon cerveau de fait qu’un tour et je me retrouve confronté à la nécessité de définir le mot « Interactif ». Alors comme tout le monde j’ouvre un dictionnaire (non je plaisante, comme tout le monde j’ouvre wikipédia) et je trouve qu’interactif veut dire « qui permet une interaction ». Et là je tombe.

Car si on réflchit bien et c’est énorme. La souris que je manipule en ce moment est aussi interactive, mon clavier aussi, mon chat aussi, ma femme aussi (ben oui essayez de poser un chat ou une femme sur un meuble et n’ayez aucune interactions avec pendant quelques temps et vous verrez le résultat). Et au final, quand je suis dans ma salle, je suis un objet interactif aussi (essayez aussi de ne pas interagir avec vos élèves et ça donne des trucs sympas:loin de moi l’idée que la majorité des problèmes de discipline viennent des enseignants). Donc si j’en reviens à une réflexion mathématique TBI=Vidéoprojecteur=Souris=Chat=Femme. (pourvu qu’elle ne le lise pas l’article)

Enfin, bon je vais revenir à ma bonne vieille façon de parler. Y’en a un peu marre de ces articles et sites consacrés aux TBI divers et variés. Parce qu’un TBI ça ne permet jamais que ce que permet un vidéoprojecteur et une souris. Et les fameux logiciels de TBI, ne permettent jamais que de faire ce que font déjà les autres logiciel(parce qu’avec flash par exemple, j’en connais un, il te refait le voyage de colomb) . Alors, non il ne faut pas le mettre à la poubelle (j’adore le mien et d’après mon équation précédente je risque de perdre gros dans un tel cas). Le mien il me sert de souris bien pratique. Je n’en ai pas besoin pour que mes élèves consuisent un schma ensemble (ils le faisaient déjà sur mon premier TBI à craie). Il me permet de faire ce que je faisais avant plus rapidement et surtout plus esthétiquement.

la seule véritable question dans l’histoire est, bosser avec un tableau, est-ce réellement pédagogique? notez qu’il n’y a pas de I à Tableau.

Alors quand je vois le temps et l’énergie dépensés pour réfléchir à un objet, je me dis qu’ils auraient été plus à profit dans une toute autre réflexion. A ce propos, Allez voir le blog de la prof qui frague par compétence, ça fera pas de mal.

Les chroniques de Sheitan-al-Dîn: Nuit 4

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Bachir nous signifie qu’il a entendu Launay parler d’un diable jaune.

Sambor se réveille très faible. Il me signifie sa volonté de se rendre à l’hôpital. il intime aux autres d’aller voir Ahmed. Les autres, femmes et bachir, vont chasser. Nous avons tous souffert hier et il nous faut nous reconstituer. Je porte Sambor vers l’hôpital. nous arrivons à l’hopital, une femme nous voie, me regarde, et me dit de le laisser avec elle. Sambor me fait signe que je peux lui faire confiance. Je laisse Sambor à la femme. la femme l’emmène dans une pièce. Elle revient vers moi, l’indique deux patients de l’hopital et me signifie que je peux me nourrir sur eux mais en faisant attention. Je me nourris donc et me sens déjà mieux. Sambor réapparaît en meilleur état.

Nous repartons vers le point de rendez vous avec Sambor encore faible et lent. Sur le chemin j’en profite pour l’interroger. Je lui demande à nouveau si il est bien le fils de Saulot recherché et s’il accepterait de rencontrer les nosferatu qui souhaiterait le protéger. Nous entrons dans les catacombes à la recherche de mes frères de clan. rapidement, uns voix se fait entendre. Devant nous Ephraïm se montre accompagné de deux autres formes. Ils nous conduisent plus prfondément dans les catacombes. Nous arrivons sur une grande caverne. Une vieille femme, lérepeuse et abîmée, Ephraïm et un troisième quasiment un squelette vivant. Ephraïm nous invite à boire le thé ce qui signifie qu’il veut parler. Il salut le fils de Saulot et lui signifie sa bienvenue. Le squelette vivant se met à parler et se présente comme tant Kotar, Visiblement il est très ancien. ma mémoire de nosferatu en fait un quatrième génération. Il s’adresse principalement à Smabor. Fils de Saulot, Nahoum doit être protégé. Vous le savez et je sais que vous communiquez avec lui. les disciples de Mahomet ont décidé de prendre le pouvoir à Jérusalem. Etheria est donc mal en point. Nahoum sait qui devrait régner réellement sur Jérusalem.Sa protection est un moindre mal. la situation est compliquée. Kotar me rappelle de ne pas suivre la mauvaise voie. Mon combat n’est pas le leur, les disciples de Mahomet ne défendent pas le livre.  Sambor me fait part de sa proximité avec Nahoum et sa volonté de continuer à le protéger en continuant comme nous avons commencé, en retrouvant la nièce du patriarche.

Fidelma au point de rendez-vous nous informe que les ahmed est un ravnos et qu’il est donc caïnite. un moine aurait dit à Fidelma qu’Etheria était mal en point et qu’il faut se dépécher de retrouver la nièce du patriarche.

Bachir nous avoue que pendant sa chasse, il a rencontré l’agresseur de Sambor. il aurait passé un accord avec ce caïnite pour laisser Sambor tranquille.

Nous retournons voir Launay. Launay est enfermé dans un délire sur un diable jaune qui l’aurait touché et l’aurait fait vieillir. Effectivement, ces cheveux semblent un peu plus blanc que ceux d’un homme de son âge.

Fidelma essaie duser de ses pouvoirs sur lui. il la considère comme une soeur et confie avoir vu le diable jaune et demande à être béni. mais il a tendance à s’exiter. Il demande à être protégé. La maint du diablel’aurait traversé avec une bague verte. il est en train de sd’énerver. sambor s’approche de lui et le touche d’un simple geste de la main. Il semble se calmer. il révèle alors q’Agnès voulait partir mais qu’il ne voulait pas, le diable, le diable.

Blanche s’approche de lui, lui tend un morceau de pain béni et Launay se calme immédiatement. Qui t’a emmené dans le trou. ce sont les hommes du patriarche quand je suis revenu au palais, ils m’ont fait passé pour un lépreux. Tu revenais d’où? La nièce m’avaient emmené avec elle dans une maison. le tremblement de terre nous a enterré., j’ai perdu Agnès. Où est cette maison?  Je ne peux pas le dire précisément, je pourrais vous y conduire, si j’avais un plan. Sambor dessine un plan et rapidment et Launay indique un endroit. Soudain Blanche brandit une croix et  nous demande de sortir.

Soudain, Blanche ressort et nous dit que nous allons suivre Launay jusqu’à ce lieu mystérieux qui a vu la disparition d’Agnès. Elle qsemble de nouveau perdre la tête. Launay est obsédé par l’idée de retrouver la clé mais nous lui faisaons comprendre que nous n’en avons pas besoin. il cède, persuadé que nous allons l’aider à retrouver Agnès. Nous prenons la route. Nous arrivons dans la fameuse maison qui se trouve au fond d’un dédale dans le quartier arménien. il s’agit d’unze minuscule maisonnette très délabrée. La porte est fermée par une vraie serrure en métal ce qui est très rare de nos jours.

J’utilise mon quietus, cette étrange technique apprise il y a bien longtemps. bachir et moi-même, parfaitement synchronisé nous lançons sur la porte qui vole en éclat. Launays nous conduit immédiatement près d’une trappe qui donne dans une petite cave. Sambor place la table contre le trou béant laissé à la place de la porte pour ne pas attirer l’attention. J’appelle des rats et leur demande de me guider en bas. Launay passe devant et les rats continuent à nous accompagner. Sambor nous prévient qu’il entend au loin des bruits d’essoufflement. Nous débouchons sur une galerie éboulée. devant nous, un tas de gravas. Sambor nous indique quelles pierres enlever pour ne pas aggraver l’éboulement. Nous retirons doucement les pierres. un air vicié apapraît. une voix féminine étouffée se fait entendre. « Venez m’aider ». nous appercevons rapidement un être humain, très faible qui a visiblement jeûné. 0 ses côtés un corps racorni d’homme. Sambor demande à Launay s’il s’agit d’Agnès. Il s’exclame qu’il s’agit du diable jaune, et se sauve en courant en lâchant la lampe.

Bachir observe le corps qui a visiblement était mordu et vidé de son sang. Sambor observe un passage muré il y a fort longtemps. Visiblement le tremblement de terre a ouvert une brâche.Blanche s’approche. Soudain un hurlement se fait sentir. Blanche recule, une forme jaune complètement autour d’elle. Son visage se racorni complètement et elle se met à vieillir rapidement, ses cheveux blanchissent.

il s’agit visiblement d’une âme. celle-ci prend la forme du corps de blanche et semble se concentrer autour de son ventre.

Pleins de voixc comencent à se faire entendre, une voix incompréhensible. bachir s’agenouille. La voix me devient compréhensible: Aide le mon fils! Il s’agit d’Allah.

La forme s’évanouit? Blanche est désormais libérée et se trouve avec une bague verte à la main. Blanche a les cheveux totalement blanc. Les voix continuent et entonnent Hallh Akbar! mais cette bague verte, il s’agit de la bague du prophète. trouve Sallah. Le Nord. le désert.

Sambor décide de ramener Agnès à l’hopital pour la mettre en sureté. Blanche s’arrête sur un mendiant et se nourrit. Nous entendons tous dans le même temps. Prends, ceci est mon aumône.

Les Chroniques De Sheitan-al-Dîn: Nuit 3: deuxième partie

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Nous sortons de l’église et nous en éloignons. Fidelma est sotie précipitamment et nous la retrouvons en positions catatonique. Je porte Launay sur le dos, à croire que je suis le seul à pouvoir le faire. Launay a la peau desséchée, les lèvres baveuses, craquelés.

Bachir raconte a Fidelma ce qui s’est passé. Elle semble hargarde.

Sambor remarque que Launay est véritablement dans un sale état. Mais il a un flux vital, il est toujours humain. il est désorienté, l’esprit perdu, rien à en tirer pour le moment. Sambor demande à Bachir d’aller chercher Hughes le soldat nous ayant indiqué où trouver Launay. Bachir disparaît aussitôt. Cette petite habitude commence à me lasser, les Assamites ne se cachent même plus.

Sambor appose les mains sur Launay. clui-ci s’endort mais Sambor continue ses impositions. Nous devons le cacher rapidement le temps qu’il reprennne ses esprits.

Nous nous dirigeons vers les restes de la demeure de Blanche et Fidelma. Sambor nous signale que nous sommes suivis de façon surnaturelle, probablement par des vampires. Nous continuons notre traversée du quartier chrétien toujours dans la partie en bonne état mais nous nous approchons de l’ancienne maison de Fidelma qui bien que debout est très marquée par l’incendie. la porte est plus ou moins barricadée.

Fidelma frappe à la porte de sa demeure. on lui répond qui-est-ce. une barre de bois semble tomber au sol. le semblant de poret s’ouvre. Nous rentrons dans cette demeure. Augustine repousse la porte. Sambor, visiblement doué poyur la construction, réorganise le refuge. Avec différentes poutres, nous reconstruisons plus ou moins le refuige. Puis Sambor nous quitte pour son refuge.

Lors de ma sortie, j’aperçois u loin Sambor, une forme sombre devant lui qui se jette sur lui. Sambor semble esquiver le coup. L’adversaire semble extrêmement rapide. il frappe Sambor une nouvelle fois et fait mouche. L’adversaire se retourne aussitôt et frappe à nouveau. Sambor est à nouveau touché.

Je coure en hurlant attaque. les nonnes semblent être sur le point de sortir. un être étrange, les yeux rouges, des canines acérées, crache sur sa lame. Sambor se jette en arrière, dans ma direction. L’adversaire se jette à nouveau sur sambord et le touche à nouveau. il est mal en point, l’odeur de son sang se fait sentir, il se retrouve au sol. Dans ma précipitation, je me heurte à quelque chose et je me rends compte qu’il s’agissait de Bachir habilement dissimulé en plein déplacement. Bachir se lève rapidement et m’empêche de bouger. Visiblement il a pour but de me gêner.

Blanche se met à courir vers Sambor. Sambor frappe avec un morceau de poutre calciné. un éclat de bois pénètre sous les vêtements de la créature, mais un bruit métallique se fait entendre.

J’essaie de repousser Bachir. Fidelma arrive et décolle une coup de botte dans la tête de Bachir. il ne lâche pas la prise mais semble avoir souffert du coup. la créature se jette à la gorce de Sambor et s’agrippe à lui. Bachir, étrangement, après l’avoir génế, se jette sur l’assaillant et s’agrippe à lui. Bachir attrappe la créature, la propulse sur le toit de la maison juste au dessus. Je vois la créature voler, je saute en l’air, j’attrappe la créature et je mécrase avec elle contre le mur. Je sens la douleur, les brique du mur s’enfoncent. je saisis la créature de toutes mes forces. j’entends un craquement douloureux et je sens la colonne vertébrale se disloquer. La créature est inerte mais je la sens déjà commencer à se régénérer. Je bois la créature, je sens la puissance de son sang. Il est plus ancien que moi.

Bachir m’interpelle de vive voix en me signifiant qu’il s’agit d’un croyant. Que faire? rejeter ma croyance, ou continuer à sentir cette puissance s’insuffler en moi. Comment rester fidèle à moi-même si je fais ça. je lâche alors prise. bachir me signifie qu’il me sera redevable si nous avons affaire aux nosferatu. Nous entendons alors des craquements, la créature se relève nous regarde: « Rien de personnel messires ». D’un bon il se retrouve sur le toit. Que de puissance après d’aussi graves blessures.

Je cours rapidement vers Sambor. Celui-ci est entré en torpeur, il est visiblement très mal en point. Le soleil approche. Les femmes parviennent à rentrer. Au dernier instant avec Bachir, nous parvenons à nous jeter à l’intérieur.

Fidelma se nourrit sur sa goule Augustine. Elle semble mal en point. Visiblement la journée est trop entamée pour elle.

Nous nous dirigeons vers la cave. Nous précisons à Augustine de nous alerter si l’un d’entre nous essayait de s’en prendre à Launay. l’épisode a été si rapide que personne ne pense à demander à bachir et moi-même comment s’est terminé l’é »pisode avec la créature.