Les exemples sont nombreux mais la plupart suivent le modèle de Lighbot ou autre Run Marco, avec une action se résumant à déplacer un personnage et lui faire réaliser certaines actions. cargobot reprend le même principe niveau initiation à la programmation mais change le concept ludique. Ici, pas question de déplacer un personnage, on se contente de gérer les déplacements d’un bras mécanique déplaçant des pièces.
Un des atouts du jeu est qu’il même l’initiation à la programmation car il faut sélectionner les actions du bras mécanique mais aussi une réflexion plus intense que sur les autres jeu car il faut établir sa programmation en fonction de déplacements logiques. Car non seulement il faut déplacer des pièces mais surtout les repositionner précisément. Donc avant de penser son code, il faut penser le déplacement des pièces, un peu comme si on jouait aux tours de Hanoi.
Pour le reste l’interface est simple. on commence par sélectionner son niveau de façon assez classique. la difficulté augmente toutefois très vite du fait de la nécessité de ne pas penser seulement au déplacement.
Une fois dans l’interface de jeu, le principe est simple. la fenêtre supérieure est la scène de jeu. la fenêtre inférieure est la fenêtre de programmation. Il suffit de déplacer les différentes actions dans les barres de programmation.
Au dessus se trouve l’objectif à atteindre. les pièces sont de couleurs différentes et il faudra les replacer exactement comme indiqué.
Contrairement aux autres jeux du genre, on se retrouve assez libres dans la programmation et il n’y a pas de modèle à suivre. Moins on utilise de déplacements, plus on gagne d’étoiles en fin de niveau. Dès le début, il est possible d’utiliser des boucles si on le souhaite. Mais le jeu se complique plus vite que les autres titres, donc il serait plutôt à réserver à des élèves déjà familiarisés avec ce type d’activités.
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